“Vive Mohamed Merah”, “vive Kolibali ” et “Nique la France et les les Juifs” (seule inscription effacée en premier dans cet immeuble du cours Lieutaud dont parle le journal La Provence) voici les Tags et graffitis dont parlait le journal dans son édition du Jeudi 27/08/2015.
Une preuve de plus, si il en fallait, que la haine se répand d’une manière insidieuse et que petit à petit tout le monde s’y habitue.
La France glisse lentement vers la radicalisation des communautés.
Quel rôle joue la presse en occultant le plus grave de cette affaire : le lien entre les tags et les émanations ?